La première fois que j’étais arrivé dans les environ de Mystic Fall, l’église aujourd’hui abandonner et détruite, était toujours dresser avec fierté. Les fondateur l’avaient bâtit et elle avait été une très belle église. Mais malheureusement, celle-ci avait été abandonnée. Elle était aujourd’hui dans un sale état. La nuit venait de tomber alors il était quand même assez tôt. Mais l’air était plutôt frisquet. Il ne fallait donc pas sortir avec un simple gilet sinon c’était sur que vous auriez froid, même très froid. C’est donc pour cette raison que j’avais enfilé des jeans et un chandail a manche longue avec un léger manteau par-dessus. J’avais décidé de me rendre dans ce lieu pour me rappeler de ma famille un peu. Même si j’étais un vampire, j’avais quand même des sentiments. J’étais une des seules peut-être qui n’avait pas mit son humanité de côté. Elle était toujours la, au fond de moi. Je ne voulais pas la perdre et devenir un monstre, même si je l’étais quand même en grande partie.

Je m’était donc diriger tranquillement vers l’église abandonner en me rappelant des souvenirs que j’avais vécu avec ma famille, ou plus précisément avec mon frère. Je me rappelais lorsque nous jouions ensemble et que je l’agaçais. Il ne c’était jamais fâcher contre moi. Il avait toujours gardé le sourire même lorsqu’il était un peu fâcher. Tout ce qui restait de l’ancienne église était un mur environ et le clocher sur le dessus. Le reste avait totalement été dévasté. Dommage pour une si belle église. Lorsque je fus arrivé a l’intérieur, j’allai m’asseoir ou le curé était supposer s’installer pour parler au public puis je regardai vers le haut en me laissant tomber sur le dos. En ce moment je pensai à ma mère et à mon frère. Au moins les deux était mort d’une belle mort si l’ont peu dire ça ainsi. Ma mère était morte en m’accouchant et mon frère était mort avec ça fille et ça femme. C’était mieux que de mourir comme mon père, mourir de tristesse et que sa santé se détériore de jour en jour. Je me demande encore pourquoi Isaac m’avait seulement transformer moi. Il m’avait expliqué que c’était parce qu’il trouvait que je souffrais trop et que j’avais besoin de cela. Mais dans un sens, je souffrais encore aujourd’hui. Je devais peut-être penser à mettre mon humanité de côté pour quelque temps. De cette façon j’arrêterais de souffrir pour de bon et je pourrais vivre une vie normale. En fait, pas totalement normal, mais dans les environs.

Oui j’étais triste, mais je me retenais de pleurer. Ce n’étais pas vraiment mon style quoi qu’il m’arrivait de temps en temps d’échapper quelques larmes ici et la. J’étais un drôle de vampire. A la fois cruel, mais toujours avec un cœur. Je ne pu m’empêcher de rire légèrement en pensant a cela. C’est vrai, j’étais quelque peu étrange. Je me rassis alors tranquillement puis je regardai autour de moi. Il y avait quelques petits animaux qui marchaient partout en travers l’église. En fait plutôt des rats, puisque l’endroit était plutôt délabrer et que c’était un endroit parfait pour eux. Mais mon regard se redressa lorsque j’entendis un petit bruit. Je me mit alors immédiatement sur la défensive.

J’étais toujours sur la défensive et je regardais en face de moi. Une ombre apparue bientôt dans mon champ de vision. Je la regardai tranquillement puis une odeur adorable entra dans mes narines. Je ne pu alors, a ce moment, m’empêcher de me lécher les lèvres. C’était un de mes réflexes. Lorsque je sentais l’agréable odeur d’un humain ou d’une humaine, je ne pouvais m’empêcher de passer ma langue contre mes lèvres. Mais à ce moment précis, je n’avais pas faim énormément. Je me contrôlai donc et me redressa sur mes jambes pour m’avancer vers l’ombre. Cela faisait déjà quelques minutes que cette personne avait demandé qui était la. Mais je n’avais pas répondu. Je préférais attendre de la voir de mes propres yeux avant de parler. Lorsqu’enfin je pu la détailler de haut en bas, je lui répondis.

-Une simple personne qui a pris une petite promenade jusqu'à cette église.

Je la regardais alors dans les yeux puis je lui souris. Je rie quelque peu alors puis j’étirai mes bras avant de lui répondre plus clairement.

-Mon nom est Lexi Rikards. Et toi, qui es-tu ?

Je lui fis alors un autre sourire en la regardant de la tête au pied. Des cheveux d’un noir foncé et des yeux d’une couleur magnifique. Ses cheveux noirs faisaient ressortir énormément ses yeux couleur émeraude. Elle devrait être fière de son visage. Je la trouvais très jolie. Elle n’était pas très grande, ce qui fit par l’occasion que je la dépassais en grandeur. Selon moi, c’était une très jolie femme ce qui me mit l’eau a la bouche encore plus. Mais je devais me retenir à tout prix. Je ne pouvais pas m’emporter ainsi. Une proie vivante a chaque deux semaine peut-être et pas plus. Il fallait que je sois raisonnable. Je croisai alors tranquillement mes bras contre la poitrine et je la regardai dans les yeux.


-Alors qu’es que tu viens faire par ici. J’ai entendu dire que se n’était pas un endroit à fréquenter la nuit. A ce qui paraît, il y a des choses horribles qui se passent par moment. Tu es très courageuse.

Je pouvais l’affirmer moi-même que se n’était pas un endroit à fréquenter le soir, seule. En ce moment, elle était totalement vulnérable face à moi et je pourrais lui faire tout ce que je voudrais. Mais puisque j’étais un vampire quand même assez gentille, lorsque ça me tentais, et bien je ne voulais pas lui faire de mal. Elle était chanceuse de m’avoir rencontré ici et de ne pas avoir rencontré un autre vampire.

Je senti alors l’envie m’envahir. Il fallait que je me contrôle. Mes yeux étaient entrain de changer et je sentais mes crocs pousser légèrement dans ma bouche. Je souris alors rapidement à la femme puis me tourna dos à elle. Je pris une bonne respiration, et puis une secondes avant de me calmer. Mes yeux redevinrent alors normaux et mes crocs disparurent de l’intérieur de ma bouche. Je me retournai alors face à ma nouvelle petite rencontre puis lui sourit légèrement.

-Désolé

Je pris une autre bonne respiration. Peut-être qu’elle allait mettre mon étrange agissement sur le fait que je sois dans une église et que peut-être que j’aurais perdu quelqu’un qui m’était chère. Enfin j’espérait seulement qu’elle n’est pas remarquer le changement qui c’était produit sur mon visage.

Je l’écoutais me parler, en prenant bien soin de me maitriser. De grandes respirations de temps en temps me suffisaient largement. C’était par précaution. Je ne voulais pas qu’il arrive un incident ce soir. Surtout que ma faim n’était pas vraiment présente, alors se serait un gâchis de la tuer. J’avais voyagé partout dans le monde. Nommez n’importe qu’elle place et je vous direz que je les faites. J’avais eu en masse le temps durant tout ses années pour voyager comme bon me semble, et je remarquai, que des que Valéria ouvrit la bouche, qu’elle venait d’Italie. Un pays tout à fait romantique et plein de charme.

-Ohhh… Vous venez d’Italie à ce que je peux voir. C’est un pays tout à fait charmant que j’adore.

Je lui souris puis je m’approchai encore plus d’elle tranquillement. Parfois c’était dur de combattre ses envies. Mais pour l’instant, tout allait quand même pour le mieux. Mais mon mauvais côté pouvais prendre le dessus n’importe quand. Le meilleur des scénarios, il faudrait qu’un humain passe par ici pour que je puisse assouvir ma soif au lieu de sauter sur Valéria. Ce n’était aucunement mon cas de tuer des femmes humaines. Je me dirigeais toujours vers le gars. Mais quand il le fallait, je me nourrissais de sang de femme. Par moment, on ce bat contre nos envies et notre instinct. Mais c’est l’instinct qui gagne souvent malheureusement.

Je m’arrêtai alors de marcher et je la regardai dans les yeux. Je lui souris par la suite pour essayer de ne pas l’effrayer. Mon sourire pourrait peut-être la réconforter à cause de mon comportement étrange.

-Moi je trouve que tu es courageuse. Et que tu dois l’être même plus. Ce n’est pas n’importe qui, qui ose venir ici en pleine nuit. Jusqu'à maintenant, je n’es vue que toi venir ici.

Je lui tournai alors le dos et je marchai vers l’église puis j’arrêtai le pas en regardant le ciel puisque le toit de l’église ne cachait pu grand-chose. Pourquoi ça m’arrivait ici ? Et surtout maintenant. Ce n’était pas le moment. Tout allait pour le mieux, et il fallait que cette femme arrive. Je n’étais pas pour m’en aller en courant. Se n’était pas tout à fait mon style. Je croisai alors mes mains au dessus de ma tête et j’étirai les bras en soupirant. Elle était nouvelle dans cette ville. Cela expliquait peut-être pourquoi elle c’était aventurer ici seule. N’importe qu’elle personne habituer dans cette ville ne s’aventurera jamais ici seul, à moins que cette personne ne sois complètement soul et éclater, un des deux. Je me trouvai alors une fois de plus vers elle et je soupirai une secondes fois.


-Si je peux t’aider, évite de venir ici des maintenant. Ce n’est pas un endroit à fréquenter la nuit, mais pas du tout. Je te dirais aussi d’évitez le plus possible les lieux qui ne son pas beaucoup éclairer et ou il n’y a pas grand monde. C’est un conseil.

Elle me posa finalement la question que je ne voulais pas entendre. Elle avait donc remarqué le changement qui c’état produit. Mais j’aimais quand même mieux essayer un mensonge que de dire la vérité. Si jamais quelqu’un devait apprendre qu’il existait réellement des vampires, la situation serait atroce. Nous serions pourchasser et tuer sans pitié, sachant que nous même, nous tuions des être vivants. La vue de Valéria me donnait de plus en plus faim. Elle avait une très bonne odeur qui m’envoûtait. Je ne pouvais ne pas remarquer la veine dans son cou et le battement de son cœur. Mais quelque chose m’empêchais de lui sauter à la gorge. Je ne pouvais le faire pour je ne sais quelle raison. Je crois que j’aimais bien cette fille et c’est pour cette raison que je ne voulais pas la mordre. Elle était spéciale. Son sang m’envoûtait, mais je ne voulais pas lui faire de mal. C’était un peu contradictoire ce qui ce passait en ce moment dans mon corps. Ma tête voulait que je plante mes canines dans son cou pour aspirer son sang, mais mon cœur ne voulait pas. Il fallait que je trouve une autre solution avant que tout ne dégénère. Je pris alors une autre grande bouffé d’air pour essayer de me calmer. J’étais à deux doigts de lui montrer ma vraie nature. Puis je secouai la tête et lui sourit. Peut-être que parler me ferais changer les idées.

-Oui oui, je vais très bien. C’est juste que je suis venue ici pour repenser un peu a ma famille, ils sont tous mort alors c’est les émotions qui prenne le dessus. Mes parents sont morts lorsque j’étais jeune et mon frère vient de mourir donc je suis un peu prise de court puisque tu es arrivé. Je ne pouvais quand même pas rester au pied de l’église à pleurer et a parler dans le vide.

Je lui envoyai un sourire triste par la suite. Ce n’était pas un mensonge ce que je venais de dire. Mes parents était réellement mort et mon frère était mort lorsque j’avais été transformée. Et mon sourire triste était très sincère. Ce n’était pas un sourire qui faisait assemblant d’être triste, mais un réel. Mais mon sourire s’effaça lorsque j’entendis un bruit proche de moi. Je tournai alors ma tête rapidement dans le sens du bruit et je humai l’air discrètement. Ça ne sentais pas le chien mouillé et n’y l’humain, et surtout pas l’animal. Un vampire était donc dans le coin et avait remarqué Valéria. Le temps qu’il me fallut pour constater cela, le vampire s’était déjà élancer vers Valéria pour l’attaquer…

Le regard de Valeria s'illumina lorsque Lexi remarqua qu'elle venait d'Italie.. D'accord, l'intensité de son accent la gênait quelque peu, mais savoir que quelqu'un l'avait reconnu, et y avait déjà été, cela lui réchauffa le coeur. Le vert de ses yeux brilla un peu plus fort, l'Italie et sa chaleur lui manquaient, surtout par un froid pareil ! Le sourire aux lèvres malgré le vouvoiement, elle répondit, avec un peu plus d'excitation dans la voix :

- Tu y as déjà été !? Qu'as-tu visité ? Je viens de Catelbuono, en Sicille.. C'est si beau là-bas, les paysages, les champs d'oliviers, la côte, les villages.. Même les gens donnent envie de rester, tant ils sont chaleureux ! Et puis là-bas il fait bon toute l'année, et..

Elle s'interrompit. Elle avait recommencé à s'emporter et à trop parler ! Il fallait que cette manie cesse, déjà lors de sa rencontre avec James elle avait fait cette bourde, mais en s'excusant cette fois.. Elle inspira un grand coup pour se calmer, il fallait qu'elle apprenne à moins parler, allez go ! Lorsqu'elle voulut lui dire de la tutoyer au lieu de lui dire "vous" (car c'était à sa mère qu'on disait cela, bien qu'elle ne pouvait l'entendre), Lexi recommenca à parler, en corrigeant d'elle-même la faute.. L'avait-elle fait exprès ?.. En tout as, Valeria lui en était reconnaissante..
Elle la trouvait donc réellement courageuse ?.. Valeria ne put s'empêcher de sourire, flattée du compliment, mais ne put s'empêcher de se demander ce qui rendait son interlocutrice si inquiète, voire même.. parano sur les bords..

- C'est gentil ce que tu dis, mais en quel honneur tu me dis ca ? C'est pas parce que personne ne vient ici ou que je fréquente les endroit sombres que tu me déconseille que cela pose problème, si ?.. Parce que même si fréquenter les lieux sombres est une habitude que j'essaie de perdre, les endroits comme celui-ci m'attirent..

*Probablement à cause de.. tout ca..* Songea-t-elle, repensant à toutes ses bêtises passées, ses nuits dans des squats ou à la rue, ou autres escapades nocturnes.. Mais son attirance pour les églises et cimetières était plutôt due à la récente disparition de sa Nonna, sa grand-mère, ainsi que de son éducation très catholique..
Lexi s'approcha d'elle, semblant toujours la dévorer des yeux, c'était étrange, mais elle ne dit rien. Valeria remarqua qu'elle avait quelque chose d'étrange sur le visage, encore, mais cela sembla partir et elle sourit.. Mais c'était un sourire triste.. Lorsqu'elle entendit l'histoire de Lexi, Valeria ne put s'empêcher de compatir.. Certes, elle ne pouvait connaitre la souffrance de la blonde, mais elle avait vécu des choses similaires par le passé, avec sa mère sourde, son père toujours au travail, et surtout Nonna..

- Oh,je.. Désolée.. Tu veux que je te laisse, peut-être ?..

Valeria se sentait en effet un peu gênée d'avoir dérangé le receuillement de la jeune fille, mais alors qu'elle allait faire demi-tour pour la laisser seule, Lexi sembla marquer une pause, comme si elle réfléchissait à quelque chose. Puis tout s'enchaîna trop vite pour qu'elle puisse le réaliser au fur et à mesure que ca se passait :
Un grand courant d'air se fit sentir, et un second vampire entra dans l'église, se jetant sur Valeria, inclinant sa tête sur le côté en dégageant ses cheveux noirs incroyablement longs, et marqua un temps, probablement pour sentir l'odeur de la peur naissance et de la surprise avant de la mordre. Puis Valeria sentit quelque chose de froid, ses dents, sur la peau de son cou, mais ne pouvait se débattre tant la force du vampire la paralysait.
Puis soudain, un autre courant d'air fut déclenché, et le vampire arraché sa poigne autour de Valeria, malheureusement juste au moment où il refermait la machoire. La jeune fille sentit ses dents glisser sur la peau de son cou, la griffant légèrement -mais rien de bien grave-, jusqu'au moment ou ses dents se joignirent sur la minuscule parcelle de peau qui restait, la pincant légèrement et arrachant ladite parcelle de peau, aussi minuscule soit-elle..

Tout ce passa rapidement. Un vampire attaqua Valéria, mais celui-ci n’eu pas le temps de faire grand-chose. Mon visage avait totalement changé. Des yeux rouges, les veines noires ressortie et les canines sorties à l’air libre. Je me mis alors à grogner. Il ne me fallut qu’un pas pour rejoindre Valéria. Je menaçai le vampire de la laisser tranquille, mais il ne sembla pas vouloir m’écouter. Il devait être très jeune pour ignorer ainsi les menaces d’un autre vampire. Surtout qu’il aurait du savoir qu’un autre vampire ce trouvais avec elle. Entre nous, nous pouvions nous reconnaître. Oui, il fallait quand même porter une attention particulière, mais c’était faisable. Lorsque je vis qu’il ne lâchait pas, et que surtout il allait planter ses crocs dans le cou de Valéria, je me remis à grogner et je lui sautai dessus sans avertissement. Aussitôt, je plantai mes crocs dans la peau de son cou et me mit à y boire le sang. J’aspirais tout le sang qu’il y avait dans son corps. Normalement, un vampire ne devrait pas faire ça. Tuer quelqu’un de sa propre espèce était mal vue si l’ont peu dire, et encore plus lorsque c’est pour sauver la vie d’une humaine. Mais je l’avais fait pour sauter Valéria. Pour sauver une humaine, et maintenant elle savait mon secret. Cela me prit environ une minute pour boire en quantité totale le sang du vampire sous mon corps. Lorsque ce fut fait, je me relevai, m’essuya la bouche et retourna en direction de Valéria. Pauvre elle, elle devait être traumatisé.

Lorsque j’arrivai à son hauteur, mon visage avait très peu changé. Mais yeux avait un peu retrouvé leur couleur mais très peu, et mes veines paraissait moins. Mais mes crocs étaient toujours sortis. J’étais encore exciter par la bataille si je peux dire ça ainsi. Malgré que ça ne ressemble pas vraiment a une bataille puisqu’il ma fallut un cou de croc pour en finir avec mon ennemi. Mais je n’avais aucune honte à être devant elle, ainsi. Maintenant qu’elle savait ce que j’étais réellement, qu’es qu’elle pourrait découvrir de plus ? Pas mal rien. Mon envie de boire du sang était maintenant partie. Le sang que j’avais bue m’avais remplis l’estomac. Surtout que le sang de vampire donne encore plus de force que du sang d’humain. Je regardai alors le cou de Valéria puis reporta mon regard dans ses yeux.

-Est-ce que ça va? Et… Ne t’en fait pas pour ton cou. Il n’y a rien de grave. Juste deux égratignure.

Puis je lui souris, mais en prenant bien soin de ne pas lui montrer mes dent. Je sentais encore légèrement le pointu de mes crocs contre ma langue. Deux petits bouts coupant.

-Je suis désolé que tu est à endurer ça. J’espère que tu remarque pourquoi je tes dit de ne pas trainer seule dans des endroits comme ceux-ci. Tu serais morte a leur qu’il est si je n’avais pas été la…

J’essayais de paraître encourageant un peu, mais je voulais surtout qu’elle n’est pas peur de moi et qu’elle me fasse confiance. C’était tout une épreuve qu’elle venait de vivre. En moins d’une minute, elle s’était fait attaquer par un vampire, une créature mythique qui n’est même pas censé être réelle. J’essayais donc de détendre un peu l’atmosphère. Je lui parlais alors sur un ton calme qui n’était pas du tout méchant ou provocant.


-J’ai visité l’Italie en entier. Tous les moindres recoins je les est vue. J’ai même visité ta ville natale.

Je lui sourie maintenant avec les dents, puisque j’étais redevenu totalement normal.

-Je trouve aussi qu’il fait un peu froid ce soir. Qu’es que tu dirais s’il faisait un peu plus chaud?

Je fis alors une petite différence de température. Il faisait encore un peu froid, mais la température avait largement augmenté. Plus besoin de petit manteau. Je l’ôtai donc prestement et regarda Valéria, en espérant qu’elle ne parte pas en courant se réfugier. Sinon je serais obligé de lui effacer la mémoire pour ce qui est de ce soir.

Elle avait l’air perturbé. Je crois que je lui avais fait peur. Après tout c’était peut-être normal après ce qu’elle venait de vivre. Je la regardais toujours, puis elle porta ça main a son cou et lorsqu’elle l’ôta, celle-ci était pleine de sang. Il me fallut que je garde mon sang froid pour ne pas réagir violemment. Je n’avais plus faim, mais reste que c’était quand même du sang qui m’attiraient énormément qu’elle avait sur les mains. Je ne pouvais détacher mon regard de ça main, mais il fallait que j’arrête. Je ne voulais pas lui faire encore plus peur qu’elle ne l’était déjà. Puis Je vie la croix qu’elle portait au cou. Elle l’avait entre les mains et semblait y tenir. Elle était donc croyante. Elle n’avait pas l’air d’avoir encore compris ce que j’étais. Mais un mensonge ne servirait à rien. Elle le serait un jour ou l’autre c’était certain. Et si jamais je ne lui dirais pas la vérité, elle pouvait quand même aller dire à plein de monde ce qu’elle avait réellement vu.

-Ne t’inquiète pas, je n’est plus faim. C’est juste qu’a la vue du sang, par moment c’est plus fort que moi. Mais je sais me contrôler. Il n’y a pas à s’inquiéter. A par si vraiment tu te mets à saigner énormément. La il faudrait peut-être que je parte en courant.

Je continuais de la fixer. Elle avait l’air un peu perturbé. Tout ça a cause d’un évènement qui avait duré moins de deux minutes. Mais il fallait que je la comprenne. Son monde venait de basculer pour toujours. Et je ne pouvais la laisser dans l’ignorance plus longtemps. Je l’aimais beaucoup cette Valéria. Elle me plaisait énormément.


-Non, ce n’est vraiment pas Castelbuono. Ici c’est beaucoup, mais beaucoup plus animé. Ta ville natale est plutôt tranquille. Mais même la bas, la nuit il se passe des choses horrible que tu ignore. Partout dans le monde ses ainsi. Vous ignorez totalement l’existence de d’autre race que celle humaine.

J’allais vraiment lui dire. J’espérais tout simplement qu’elle n’allait pas partir en courant, qu’elle allait bien réagir. Sinon je serais obligé de lui effacer la mémoire. Et ça je n’aimais pas trop le faire. J’essayais de garder mon calme. Elle remarqua le changement de température que j’avais fait et elle semblait terrorisée. Elle c’était empresser de prendre la croix qu’elle avait dans le cou pour la tenir et elle avait même reculé d’un pas. Je la regardai alors tristement. J’espérais vraiment qu’elle allait bien réagir. Mais c’était comme demander à un enfant de pas manger son bonbon préférer alors que celui-ci était directement en face de lui, a ça porter. C’était un peu impossible. Je pris alors une bonne respiration.


- Écoute-moi Valéria. Il y a des tonnes de chose que tu ignore. Je ne fais pas parti du monde des humains. Je suis autre chose. Et c’est pour cette raison que je suis capable de changer la température, de changer de forme pouvant me transformer en animal et encore plusieurs autre chose que tu ignore. C’est pour cette même raison que je tes dit que tu ne devrais pas te promener seule dans des endroits comme celui-ci. Parce que c’est extrêmement dangereux et qu’il y a pleine de créature comme moi.

Je fermai les yeux quelques secondes puis je les ré ouvrit en faisant un pas en direction de Valéria. Je regardai alors le sol puis prit une bonne respiration. Il me fallait du courage pour lui annoncer ce que j’allais lui annoncer. Et c’était loin d’être facile à faire.


-Écoute Valéria, je ne sais pas pourquoi, mais j’ai une grande confiance envers toi. Et c’est pour cette raison que je ne te mentirai pas sur ma vraie nature. C’est dur à dire, mais je dois le faire. Je suis…un vampire…

Je détournai le regard pendant quelques minutes. J’avais l’habitude d’avoir une grande force intérieure. Mais la, c’était plutôt dure. Je secouai alors légèrement la tête puis reporta mon regard sur Valéria pour voir comment elle allait réagir.

Je ne savais pas a quoi elle pensait et il faut dire que ça me dérangeais. Comment je pourrais prévoir ses agissements. Pour un vampire très vieille, c’était étrange que je me comporte ainsi. Mais j’avais raison. La dernière fois que des personne avait apprit l’existence des vampires, ils avaient brûlé la maison de mon frère et l’avait tué par la même occasion ainsi que ça femme et ça fille. Et j’avais assisté au spectacle. Je peux vous dire, il n’y a rien de pire que d’assister à un tel spectacle et que vous savez que vous ne pouvez absolument rien faire contre. Je ne pouvais que rester à regarder les flammes manger la maison petit a petit. La seule chose que je pouvais peut-être faire, était de prier en espérant que rien ne leur arrive. Mais bon, ça n’avait pas marché. J’haïssais les moments comme ceux-ci! Pourquoi je ne pouvais tout simplement pas les fuir et partir. Pourquoi je ne voulais pas lui effacer la mémoire!? Ça serait tellement facile de faire quelque chose comme ça pour moi. Deux minutes, et tout était fini. Je pourrais revivre en paix et oublier cette mauvaise soirée. En fait, pas si mauvaise pour moi, mais ça ne serait peut-être pas une bonne chose pour Valéria. Elle se méfierait de tout à présent. Tout les gens qui marchaient dans la rue pouvaient être des vampires. Il fallait que je la mette en garde.

-Écoute Valéria. A partir de maintenant, il faut que tu ne fasses confiance en personne. Tu a compris, en personne. Certain, même plusieurs vampire peuvent maintenant aller en plein jour grâce a une bague qu’il on ou un collier. Tu ne peux pas te permettre de faire confiance à quelqu’un.

Je continuais de la regarder dans les yeux, lorsqu’elle porta sa main a son cou et la tendit vers moi. Je ne pu m’empêcher de regarder cette main avec envie. Un pas et je pourrais goûter a ce sang d’une odeur enivrante. Mais je ne le pouvais pas. Pour ça sécurité. Mon réflexe premier fit de me reculer, toujours en fixant sa main pleine de sang. Elle m’en offrait certes, mais je ne voulais pas la mettre en danger. On ne sait jamais comment on pourrait réagir en buvant du sang qui nous attirent énormément. J’avais peut-être beaucoup de contrôle, mais la, sérieusement, je ne savais pas si je pourrais me contrôler
.
-Valéria… C’est un cadeau énorme que tu m’offre la. Mais je ne peu me permette d’essayer. J’ai peur de te faire du mal d’accord. Et si jamais j’y goûte, ça se peut fortement que je me dirige vers ton cou par la suite et que j’y plante mes crocs. Il est très rare qu’un vampire liche seulement le sang de quelqu’un. Il aime mieux planter ses crocs dans la chair tendre de l’humain en question.

Je la regardai avec des yeux effrayer. Bien sur, la tentation était très forte, et mon visage s’empressa de changer pour le prouver. Mes crocs sortirent, mes yeux virant au rouge et les veine sous mes yeux commencèrent a sortirent.

-Ont est les pire prédateur de la terre. Et tu veux m’offrir un peu de ton sang. Tu ne vois pas que tu te mets en danger? Tu n’a pas peur de savoir que je pourrais te sauter dessus d’un moment à l’autre sans t’avertir? En un claquement de doigt, je pourrais te tuer. Ça ne t’effraie pas?


Je ne pouvais de fixer ça main pleine de sang et son cou un a la suite de l’autre. Pendant que je parlais, j’essayais du mieux que je le pouvais de la regarder dans les yeux. Et je me rendais compte que je reculais toujours tranquillement. C’était un moyen de sécurité pour elle en fait. Lorsque je remarquai ce que je faisait, je stoppa le pas et la regarda dans les yeux.

Elle avait peur, c’était évident. Et j’avais beaucoup de difficulté à endurer cette situation. A la fois, je lutais contre mon instinct de prédateur. Un prédateur extrêmement dangereux. Il fallait avoir beaucoup de courage pour réussir à égaliser son instinct, a vouloir ce battre contre lui pour ne pas tuer une proie. Oui parce que c’est ainsi que nous, vampire, nous appelions les humains. Des proies. Mais aussi j’avais de la difficulté à voir Valéria dans cette situation. Elle était désemparer, et elle avait peur. Pour une raison que j’ignorais, j’aimais beaucoup cette femme et je tenais à elle. Lorsque notre esprit décider d’aimer quelqu’un, c’est beaucoup plus fort que n’importe quoi. Je ne voulais pas lui faire du mal. Je me dis alors a cet instant, que si elle m’acceptait comme je suis, je la protégerais coute que coute contre n’importe qu’elle autre être vivant, ou non, sur cette planète.

-Tu ne dois pas me faire confiance aussi. Je tes dit ça, parce que tu ne sais jamais ce qui se cache sous l’apparence. Tu dois certainement connaître le diction qui dit : Ne jamais se fier aux apparences. Et bien c’est exactement ce que j’essais de te faire comprendre. Je ne suis pas le seul vampire dans cette ville. Il y en a beaucoup plus que tu ne peux le croire. Et ils ne sont pas tous comme moi. Plusieurs t’aurais déjà sauté dessus et t’aurais tué. Il t’aurait même peut-être regardé entrain de te faire tuer par le vampire que j’ai moi-même tuer pour te protéger. J’ai tué quelqu’un de ma race pour protéger une humaine qui est censé nous nourrir. C’est pour cette raison que tu peu peut-être me faire confiance. Mais seul toi pourras le décider. Et pour ce qui est des autres, je veux seulement te mettre en garde. Il n’existe pas seulement des vampires et des humains dans ce monde. Il existe aussi d’autre créature menaçante.

Elle s’avança alors proche de moi, de plus en plus prêt. Elle voulait que je la morde si c’était ce que je voulais. Il y avait des limites à toute chose. Et je crois que j’y étais arrivé. Si elle m’aurait écouté, et qu’elle ne se serait pas approcher près de moi, j’aurais pu reprendre le dessus sur mes tentations et mes instincts. Mais elle c’était rapprocher de moi. L’odeur du sang me montait de plus en plus aux narines. Une odeur envoûtante et alléchante… Je ne pouvais plus résister. Je me rapprochai alors d’elle tranquillement, la regardant dans les yeux. J’espérais qu’elle avait compris que je ne voulais lui faire du mal en aucun cas. Mes yeux était suppliant, et implorait de me faire pardonner pour ce que je ferais dans le moment qui suivrait. Lorsque j’arriva a quelques centimètre de son visage, je la regarda dans les yeux.


-Je suis désolé…Si ça fait mal, ne résiste pas. Ça va seulement être encore plus douloureux. Laisse toi aller et fait moi confiance. Si tu me fais confiance, je serais encore plus capable d’arrêter de boire ton sang.

Sur ses dernières paroles, je penchai ma tête vers l’avant, vers le cou de Valéria. Avant d’y planter mes crocs, je passai ma main rapidement sur celui-ci et le regarda pendant quelques secondes. Il était inonder de sang, et la plaie était encore a vif. Je n’allais certainement pas aider ça guérison. La plaie serais surement plus longtemps que la normal ouverte. Et elle laisserait surement une cicatrice. Avoir été mordu deux fois au même endroit, peu de temps une fois après l’autre n’était pas la meilleur chose. Mais pour me pardonner et l’aider, j’eu une petite idée. Je lui dirais après l’avoir mordu et après mettre abreuver de son sang. J’espérais seulement que je serais capable de me contrôler. Lorsque mes narines prirent contact avec la peau de Valéria, ce fut automatique. Mes crocs rentrèrent d’un coup sec dans la chair de Valéria. J’étais maintenant en ‘’transe’’ et je n’entendais plus rien au alentour de moi. J’ignorais même si elle souffrait ou même si elle pleurait. Le doux goût du sang empli ma bouche, puis ma gorge en entier. Rien n’était mieux que de pouvoir goûter le sang d’un être qui nous obsède. C’était comme un cadeau pour moi qu’elle est acceptée de me faire boire son sang. C’était un test qu’elle m’avait lancé pour voir si j’allais arrêter, si je n’allais pas la tuer. Mais c’était extrêmement dur d’arrêter, je ne pouvais m’empêcher de rester accrocher a elle comme si elle était ma bouée de sauvetage et que j’étais entrain de me noyer.

Puis je serrai légèrement ses épaules. Je savais qu’il fallait que j’arrête. Si je continuais plus longtemps, je l’affaiblirais énormément, ou même pire. Je pourrais la tuer. J’ouvris alors mes yeux d’un cou sec, puis je me propulsai a environ 10 mètres d’elles. Je n pouvais pas prendre de chance de rester proche d’elle. Je resterais éloigner le temps que je reprenne mes esprits tranquillement. Je m’essuyai la bouche, avec l’aide de ma main puis je regardai Valéria au loin. J’avais but de son sang, mais pas assez pour l’affaiblir. J’étais arrêté juste au bon moment. Si j’avais bu son sang quelque secondes de plus, j’aurais commencé à l’affaiblir. Je respirai par la suite quelques bonnes bouffé d’air puis m’approcha de Valéria. J’avais totalement repris mes esprits en moins de deux minutes. Même si son sang m’obsédais comme avant, j’avais moins le goût de lui sauté a la gorge puisque j’y avait goûter. Je lui sourie légèrement pour essayer de la réconforter.

-Désolé si j’ai pu de faire mal. Ce n’était pas mon intention. Mais lorsqu’on boit du sang, on entre dans une genre de transe et on ne prête plus attention a la proie que l’ont mort. Si elle résiste ou qu’elle essais de nous pousser, nous faisons que resserrer notre étreinte sur elle. C’est pour ça qu’il ne faut pas essayer de repousser un vampire qui vous mord.

Je m’approchai alors de plus en plus d’elle puis je regardai son cou. Il était durement amocher. Il n’était pas en très bonne état. C’était sur et certain que sa serait long a cicatriser et qu’elle aurait une belle cicatrice dans le cou. A moins, bien sur, qu’elle accepte le cadeau que je m’apprêtais à lui offrir.

-Je sais que tu dois être encore un peu confuse, et sous le choc, mais j’ai un cadeau à t’offrir. Ça va peut-être te sembler dégoutant et étrange, mais c’est extrêmement rare qu’un vampire fasse un cadeau comme celui-ci. Ton cou est pas mal amocher. Et si tu n’accepte pas ce cadeau, c’est sur que tu auras une grosse cicatrice dans ton cou ce que je ne souhaite pas. Alors voila ce que je te propose.

Je portai alors à ma bouche mon poignet, puis je mordis celui-ci avec vigueur. Lorsque je le reportai devant mes yeux, celui-ci était ensanglanté. Je le regardai pendant quelques instants puis m’approcha encore quelque peu de Valéria.


-Je t’offre un peu de mon sang. Il t’en faut pour pouvoir guérir complètement des deux morsures que tu viens de recevoir. Tu récupéreras donc plus vite que la normal et tu n’aura absolument aucune cicatrice. En plus, si jamais il devait t’arriver quoi que se soit, et n’importe ou, que tu sois dans une mauvaise posture ou que tu es besoin de quelqu’un, tu n’aurais qu’a prononcer mon nom dans ta tête et je viendrais aussi rapidement que possible. Aillant bu ton sang, et si tu bois le mien, on sera lier en quelque sorte. Aussi, si tu devais avoir un accident mortel, tu te transformerais en vampire. Donc tu ne pourrais pas mourir.

Je lui souris alors quelque peu. C’était un réel cadeau de la part d’un vampire que d’offrir son sang à un être humain.

- Dépêche-toi de boire, la plaie risque de ce refermé rapidement. Ne t’inquiète pas. Je n’essais pas de te duper. Je veux seulement ton bien. Est confiance en moi.

Je la regardai dans les yeux d’un air suppliant. J’espérais qu’elle boive mon sang. Je pourrais donc avoir un œil sur elle en tout temps et m’assurer qu’il ne lui arrive rien. En plus, si je voulais lui parler je pourrais la localiser rapidement.

Spoiler:

Je fixais la lune haut dans le ciel, mais portant toujours une oreille attentivement au chose qui nous entourais et surtout, envers Valéria. Maintenant, j'avais une humaine comme amie et elle avait confiance en moi, a ce que je voyais. C'était dur d'imaginer, quand on est a la place d'un humain, qu'il existe d'autre sorte de vie sur la terre. Je le sais très bien. J'ai passer par la. Mais lorsque l'ont change de mode de vie, tout devient normal. Et surtout, on ce fou un peu de tout. Je tournai alors la tête vers Valéria pour lui adresser la parole.

-Au contraire, je peu manger tout ce que les humains mange et je peux boire tout ce que les humains boivent. Mais je ne peu pas me nourrir seulement de ça. Il me faut absolument du sang. Ainsi on peut paraître normal devant les humains. Manger comme eux et tout. Ça n'éveille pas les soupçons sur notre mode de vie.

Je lui envoyais un léger sourire puis m'étirai les jambes quelques peu avant de la regarder de nouveau. Cela paraissait qu'elle n'aimait pas le goût du sang. Et surtout, je l'entendais dans ça tête qu'elle n'appréciait pas du tout cela. Mais je décidai de la laisser avec ce goût la dans la bouche. J'aurais pu aller lui chercher une bouteille d'eau, mais je ne voulais pas la quitter. Déjà un vampire avait essayer de la tuer, maintenant je ne la quitterais plus jusqu'à temps qu'elle sois rentrer chez eux en sécurité. Bon, je ne peut pas vraiment dire en sécurité, puisque pour un humain, tu est en sécurité nul par. Puis elle me posa une autre question. Celle a laquelle je m'attendais le plus. Lorsque l'ont apprend a quelqu'un qu'on est vampire, la question qui reviens le plus souvent est l'âge. J'avoue que c'est la question que j'aurais poser en premier aussi. C'était un peu amusant de l'entendre poser cette question.

-J'ai 351 ans réellement. Mais je vais paraître pour le reste de mon existence d'une femme de 21 ans. Lorsqu'on est transformer on garde le physique qu'on a a notre transformation jusqu'à temps que l'ont meurt.

Je la regardais alors par la suite. J'avais hâte de voir ça réaction. Apprendre a quelqu'un qu'on a véritablement 351 ans, ça n'arrive pas souvent. Peut-être qu'elle allait rire, ou tout simplement avoir quelque peu peur. Une chose est sur, si jamais elle se posait des questions sur la vie, elle pouvait m'en faire part. J'en avais vue des choses au cours de mon existence. Ce n'est pas l'expérience de vie qui manque dans mon cas.