Toutes les histoires commencent par « Il était une fois » et se termine par « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants ». Franchement, vous y croyez vous ? Ce ne sont que ce qu'imagine les parents pour faire rêver leurs enfants. Une histoire prouve que tout cela n'est qu'une pure invention humaine. Certes, ce n'est pas l'histoire d'une reine, ni celle d'une riche héritière, d'une vedette, ou que sais-je encore. C'est la simple histoire d'une gamine de banlieue New-Yorkaise dont tout le monde se fiche pas mal. Après tout, qui s'intéresserait à une gamine de New-York ? Il y a des gens tellement plus heureux, qui ont le droit à des « Happy End ». Je tiens à vous le dire, tel ne sera pas le cas dans cette histoire. Si vous voulez lire quelque chose de gai, aller vous acheter le dernier tome des Schtroumphs.

L'histoire sans « il était une fois » commence quand deux ados inconscients se rencontrèrent durant une soirée. C'était il y a dix huit ans. Ils tombèrent amoureux, jusque là aucun problèmes. Leur histoire évolua, et il crurent que leur amour augmentait, alors que tout allait en décadence sans qu'aucun des deux ne s'en soient rendu compte. Un an après leur rencontre la demoiselle tomba enceinte. Elle n'avait même pas achevé ses études. Ce fut à ce moment que la véritable chute commença. La jeune femme ne voulait pas avorter, elle quitta donc ses études. Mais pleins de mépris ses parents la renvoyèrent de chez eux. Finalement elle s'installa dans l'appartement sordide de son compagnon. Ses journées se résumait à faire le ménage dans un taudis. Plus le temps passait, plus la vie à deux devenait difficile. L'homme se mit à boire, il ne levait cependant pas la main sur son épouse qui était fragile et enceinte. D'ailleurs, les deux passaient leur temps à se disputer, seul l'enfant que la femme portait les empêchaient de terminer leur histoire, cela était peut être un mal, ou un bien allez savoir.
Neuf mois plus tard la jeune demoiselle était dans la salle de travaille à accoucher. Son compagnon tournait quant à lui en rond attendant le moment pour qu'on lui dise d'aller la voir. Pour une fois il était sobre, bien qu'inquiet. Puis ont lui annonça que l'enfant était née. Une petite fille. Immédiatement il alla voir comment allait l'enfant, on le lui mit dans les bras. Et là il se sentit étrangement mal. Cet enfant était à lui. Il n'avait que dix-neuf ans. Il était père d'une petite fille. Pourquoi, lui qui avait voulu cet enfant pendant des mois, ce mettait-il soudain à la détester ? Oui, elle avait tout gâcher, son couple, les études de sa compagne, tout... C'était sa faute. Il remit alors l'enfant dans les bras de l'infirmière, il devait sortir, partir, réfléchir. Cet enfant allait bouleverser sa vie et celle de la femme qu'il aimait. Il le savait.

« Et la vie s'écoula paisiblement ». Cette phrase aurait été tellement simple à mettre. Mais dans ce cas il n'y aurait plus eut d'histoire. C'est la même chose qu'avec le « Il était une fois ». Des phrase pré-faites, qui finalement ne servait qu'à faire rêver à des choses n'existant pas le moins du monde. Bien, reprenons le file de notre petite histoire. Elizabeth. C'était le prénom qui avait été donné à l'enfant à sa naissance. Un prénom par défaut que sa mère lui avait trouvé en regardant la télévision. Mais la petite de sept ans ne se rendait pas encore compte du mépris de ses parents à son égard. Elle pensait que cela était normal. A son âge cela pouvait tout à fait être compréhensible.
Mais ce fut aussi l'année de ses sept ans que sa vie prit un autre tournant. C'était un jour avant noël. La demoiselle était assise sur le sol à dessiner tranquillement. Un petit moment de tranquillité, elle qui avait l'habitude que ses parents la grondent à chaque pas qu'elle faisait. Mais là elle souriait coloriant les formes ornant son papier blanc. Puis son père entra furibond dans le salon. Elizabeth se releva et recula. Il allait vers elle. La petite se colla contre le mur. Peut être qu'elle y entrerait. Qu'on l'oublierait. Pour une fois. Mais non. Puis quelque chose se passa. Sa mère entra aussi.

Regarde moi quand je te parle sale alcoolique !

Eliza' vit des éclaires dans les yeux de son père. Ce qui la fit trembler. Mais au lieu de s'en prendre à elle. Il se tourna furieusement vers la mère de l'enfant.

Quoi ? Tu crois pouvoir tout régler ? Tu ne travaille même pas ! J'en ai ma claque !

La joute verbale continua encore pendant quelques minutes. A chaque mots la poitrine d'Elizabeth se contractait un peu plus. Sa respiration se faisait plus rapide. Les insultes fusaient, et la première visée était elle. C'est là qu'elle comprit. Ses parents ne l'aimaient pas. Elle, la petite fille n'était qu'un cailloux dans une chaussure. Elle ferma la yeux. Elizabeth avait mal au cœur. Elle glissa contre le mur. Et rouvrit les yeux au moment ou la porte d'entrée claqua violemment. Puis une bouteille la frappa en plein visage. Sa tête buta contre le mur derrière et elle s'évanouit. Plus à cause de l'émotion qu'autre chose d'ailleurs. Mais c'est en se réveillant qu'elle apprit que son père ne reviendrait pas.


Elizabeth grandit ensuite seule avec sa mère. Dix ans à vivre avec une alcoolique. La demoiselle c'était endurcie avec le temps. Les gens n'osaient pas l'approcher sauf en soirée. On l'appelait maintenant Effy. La nuit elle était une dévergondée, elle buvait, fumait, se droguait aussi, et couchait. C'était un moyen d'évasion à ses yeux de jeunes fille. Elle avait une sale réputation, et cela lui était égal. Effy n'avait pas d'amis. Rester seule était quelque chose d'important pour elle. S'attacher n'apportait rien de bon. D'ailleurs qu'est ce que c'était que s'attacher ? Effy n'en savait fichtre rien. Et elle ne voulait pas savoir, cela semblait faire beaucoup trop mal.
Avec tous ces changements, il y en à un qu'elle découvrit peut après ses dix-sept ans. Quelques mois après enfaite. Elle commençait à voir des choses en touchant les objets. Au début Effy prit peur, elle n'en parla pas à sa mère. Peut être qu'elle avait peur. Mais elle se renseigna tout de même. De là elle partit rechercher des informations sur ce qu'elle faisait, les gens appelaient ça « sorcellerie » elle appelait ça « magie ». Elle avait sa petite boutique de magie, dans New-York ce n'était pas dur à trouver. Mais la gérante avait quelque chose de spécial. Peut être car elle avait tout de suite deviné qu'Effy avait un pouvoir. Finalement, elle finit par lui donner un livre. Un livre de magie, mais pas ce que vous trouvez dans le commerce, ceux qu'on ne montre pas, que les sorcières se transmettent. Et la vendeuse avait été clair.

Je n'en ai plus l'utilité aujourd'hui. A quoi bon ? Je suis vieille, et je n'ai pas de descendance. Mais à toi cela te sera utile. Pourtant, il ne faut jamais que tu oublie une chose «Le corps s'épuisent, pas la magie »

Effy était rester quelques secondes dans le magasin, comme figée serrant le livre contre elle. Elle cligna des yeux, et la femme n'était plus là. Comme si le temps avait été arrêté. Perdue, serrant le livre, Effy marcha une petite heure dans les rues de New-York avant de retourner dans l'appartement miteux qu'elle partageait avec sa mère. Sans même accorder un seul regard à celle qui gisait, endormit et ronflant sur le canapé. Effy déposa l'argent qu'elle avait gagné au travail sur la table du salon et s'enferma à clé dans sa chambre. Le livre qu'elle posa sur son bureau était ancien, quelques siècles peut-être. Elle caressa la couverture, celle-ci était lisse, d'une douce couleur marron, bien que les bords soient abimé. Au milieu il y avait un pentacle dorée, magnifique. Les pages bien que très abimer, étaient griffonnée de notes, des sorts auquel avaient été apporter des arrangements plus ou moins récent. Effy repensait à la phrase de cette femme. Quelque chose changeait en elle. Quelque chose de bien ou de mal.
Deux mois plus tard, sa mère et elle furent obligée de déménager. L'argent manquait, et le pauvre salaire d'Effy ne couvrait pas tout. Alors elles durent déménager. Prendre une petite maison dans un lieu paumé. L'état aidait un peu les plus démuni, et cette maison n'était pas cher. Effy n'avait pas l'habitude de faire la fine bouche. Elle prenait ce qu'on lui donnait. Les cartons de la demoiselle furent vite fais. Elle n'avait pas grand chose. La jeune sorcière avait rangé son livre de magie dans son sac en bandoulière qu'elle prendrait avec elle pendant le voyage en bus.
Le voyage. Il fut long et pénible. Effy ne dormit qu'à moitié car sa mère se plaignait sans cesse. Finalement en ayant marre la demoiselle utilisa un sort discret pour l'endormir. Et enfin elle put se reposer. Serrant son sac contre elle. L'arrivée à Mystic Fall's fut pénible. Effy fut chargée d'amener les valises à l'intérieur de la maison. C'était petit, mais plus grand que ce qu'elle avait connu avant. C'était lumineux. Idéal pour le dessin. Effy ne laissa rien paraître de son émerveillement. Comme les cartons avaient été portés là plus tôt dans la semaine la jeune sorcière monta les siens dans ce qu'elle se réservait pour être sa chambre. C'était une pièce à l'étage. La plus petite des deux, mais la plus lumineuse, et pour cause il y avait une grande vitre. Effy piocha dans ses cartons et mit les rideaux rouges qu'elle avait trouvé dans les quartiers de riches, abandonné sur le trottoir. A New-York, les gens aimaient mettre sur le trottoir ce qu'ils jugeaient trop vieux. Effy aimait bien ramasser ce qui pouvait lui servir. Aussi elle fit une décoration personnelle de sa chambre. Du rouge et du blanc, avec du noir. Tout était à son goût. Sont lit était le lit deux places qui étaient déjà là avant son arrivé collé au mur de droite. Et le bureau, pas tout jeune, mais en bon état ferait parfaitement l'affaire, surtout qu'elle dessinait sur une planche en bois près de la fenêtre.
Regardant dehors elle s'appuya contre la fenêtre. Ici elle n'avait pas de réputation. Elle n'avait pas de connaissances. Elle n'était rien. Pour vue qu'il y ai des petites fêtes arrosées au moins. Cette ville semblait d'un ennuie mortel. Et dans une semaine elle commençait les cours. C'est ce qui l'énervait le plus, surtout qu'elle avait lu pas mal de chose sur les créatures fantastiques. Mais ce n'était pas ici qu'elle allait en trouver.
Voilà.... Le « tout est bien, qui finit bien » n'est pas d'actualité. Car la vie d'Effy à Mystic Fall's ne faisait que commencer... Alors ce serait plus tôt « To Be Continued ».

Elizabeth Alice Blackwood. Un grand mystère de la vie. Voyez plutôt. Une jeune demoiselle d'apparence normale. Des cheveux bruns qui lui tombent dans le dos, bouclant légèrement. Des yeux marron/vert, tirants parfois sur le noir. Une silhouette fine, plutôt petite, svelte et gracieuse. Voyez maintenant une peau pâle qui ne prends pratiquement jamais le soleil, et des joues rougissants en cas de gênes. Ce qui est un cas vraiment rare d'ailleurs.
Elizabeth pourrait passer pour une jeune fille respectable, comme toutes les autres quand vous la croiser dans la rue. Malgré son air détaché et froid. Un peu à l'écart certes, mais normal, s'habillant de façon changeante selon ses humeurs, mais toujours bien assortie. Maintenant imaginé la nuit. Une jeune fille maquillée. Portant des vêtements dans un style rock/emo. Méconnaissable. Effy. Surnom de boite et de fêtes. Même si tout le monde savait à New-York qui elle était. A Mystic Fall's la vie risque d'être plus rude. Mais soulevé un peu ses vêtements et vous y trouverez des bleus et des marques que sa mère lui laisse.
Eliza' aurait put être gentille. Sociable. Douce. Généreuse. Oui elle aurait put. Mais ce n'est pas le cas. Elizabeth aussi appelée Effy comme vous l'aurez compris, est une demoiselle froide et distante. La compagnie des autres ne l'attire pas. L'attachement n'est rien pour elle, d'ailleurs elle ne sait même pas de quoi il s'agit. Froide voire glacial, elle est le genre de jeune fille au regard pénétrant et froid que tout les garçon désirent mais évite par crainte. Il est aussi vrai qu'elle n'est pas généreuse. Peut-être car elle n'as presque pas d'argent, que sa mère ne travail pas et que c'est elle qui ramène de quoi payer à manger. Mais elle n'est pas non plus égoïste, c'est simplement qu'elle n'as pas le temps de s'occuper des autres. Puis le fait que sa mère la batte n'arrange rien. Effy fait comme si elle n'avait pas mal. Comme si c'était normal. Elle se laisse faire. Avant elle criait des excuses. Mais les choses change et maintenant elle ne cri plus, elle se mort la lèvre et ferme les yeux jusqu'à ce que ça s'arrête. Il n'y a qu'une seule chose qu'elle à toujours voulut, et même si jamais elle ne le dira, elle l'attends secrètement, que quelqu'un l'aime, soit doux, tendre avec elle. Que quelqu'un la sorte de cette torpeur qui l'enchaine et l'étreint la faisant étouffer un peu plus chaque jour. La détruisant intérieurement.
Vous l'aurez compris Effy est quelqu'un de psychologiquement changeant, voir instable. Les gens ne voit jamais quand elle va mal. Ils ne remarquent pas quand elle est absente parce que ça mère à frapper trop fort. Mais Elizabeth à sa technique pour échapper à tout cela. Le dessin, l'écriture et la lecture. Le monde de la création, permettant de s'évader et d'oublier les heures sombres qu'elle passe à se forger une carapace. Dessinant magnifiquement bien elle reproduit bien souvent ses visions de peur de les oublier. Apprenant un peu à utiliser certains pouvoir elle se développe un monde à elle qui la rends intouchable, ou presque. Se déconnectant parfois de la réalité elle à cette faculté de pouvoir se retrancher dans son esprit et oublier ce qui l'entoure, être ailleurs. Quand ça arrive il en faut beaucoup pour la sortir de sa torpeur.
Pour sceller le tout Effy ne parle jamais. Sauf quand elle y est obligée, et encore c'est le moins possible. Elle s'est murée dans le mutisme. Les gens ne le remarquent pas. Sa mère s'en fiche. Effy est seule, alors à quoi bon utiliser ces mots ? Ils sont sans aucun doute mieux sur les pages qu'elle griffonnent avec son stylo. Effy est ainsi. Belle, mystérieuse, et souvent ailleurs. Elle est indépendante et gagne sa vie, enfin celle de sa mère, pour se payer une vie décente tout en continuant ses études. Telle est Effy, personne ne la changera maintenant.
C'est ainsi que tout ce termine, que dire de plus ? Rien.

PSEUDO : Lullaby =p AGE : 16 ans, 17 dans deux semaines x) AVATAR PRIS : Lucy Hale COMMENT AS TU ATTERI ICI :En cherchant x) CE QUE TU PENSES DU FORUM : Il est super j'adore tout simplement =D FICHE : [X] Terminé [] En cours UN PETIT MOT : Je veux une aventure avec Damon *-* Obligé *O* <3 Ou au moins un petit Rp u.u (J'ai trouvé un code dan le règlement, mais je savais pas ou le mettre, alors je le met là xD "Es-tu prêt à survivre ?)